Comment le fm peut-il travailler à sa propre liberté de penser
Cette question engendre 2 orientations de réflexion.
Comment, question directe signifiant quels peuvent être les moyens mis a disposition du F :.M :. Pour travailler à…., qu’entend on par moyens ?.
Travailler à sa propre liberté de pensée, cela suppose que le F :.M :. ait appréhendé le sens de sa liberté de pensée, et en quoi cette liberté de pensée serait elle différente de celle du profane ?
Je pense qu’il y a lieu d’examiner cette dernière interrogation avant d’aborder le comment.
Travailler : plutôt que travail, le F :.M :. Par sa libre présence, est un homme de désir au sens du désir de créer. L’initiation, et c’est bien là le sens de notre présence, est un combat contre une cohorte d’ennemis formée du matérialisme, de la compromission et de toutes les faiblesses humaines, cela va certainement bien au-delà de toute notion de travail. Nous frappons à la porte du temple, plein d’énergie et d’espoir, nous sommes reconnus par nos FF :. apte a prendre le chemin en qualité de F :. Capable de faire fructifier notre potentiel, épanouir notre flamme intérieure.
Ce n’est ni dans une mystique individuelle, ni dans la contemplation de nous même , ni dans la recherche de pouvoirs personnels que nous y parviendrons, mais en participant assidument avec nos FF :. au travail que je nommerai communautaire, au travail en Loge, cela participe au sens de notre propre libération.
Car pour envisager notre liberté de pensée, il nous faut atteindre une libération certaine, celle de la justesse gravée dans notre cœur dans le pur respect de nos devoirs. Faire spontanément et naturellement ce que d’autres font par obligation et contrainte. Cette façon de, n’a plus de sens dans notre société profane en proie au laxisme et au fanatisme. La liberté de penser passe par la perte de nous même dans l’ordre des certitudes, du confort et de la paresse. Compenser ces manques par un surcroit de vanité est une façon