Comment faire une introduction sur la liberté
Le second temps du devoir se bornera à détailler les conséquences éthiques que suscite cette acception de la liberté dans le champ politique, de la « vie de la cité » ; dans son organisation sociale. La liberté n'est-elle pas toujours l'occasion d'être l'hérétique de la religion, de la doxa de son temps ? (Cioran, Sartre, Foucault). Saint Thomas d'Aquin, Somme théologique (1273)
Leibniz, G. W. Discours de métaphysique …afficher plus de contenu…
Ces deux définitions permettent par la suite de comprendre les interactions et les jeux de balancier entre ces enjeux notionnels qu'il convient d'analyser et d'interroger : la liberté comme conformité à la loi de l'impératif catégorique, c'est-à-dire la liberté comme morale (Kant) ; la liberté comme persistance dans son être, comme acceptation et continuation du déterminisme essentiel (Schopenhauer) et la liberté comme donnée unilatéralement et sans possibilité de la rejeter (Sartre). Les questionnements peuvent aboutir, dans une seconde partie, à interroger les limites de ce raisonnement somme toute très évident dès lors que l'on creuse un peu le sujet : il pourrait exister, selon une tradition anarchiste, une liberté absolue en matière politi que (Stirner) ou en matière éthique (Michelstaedter), de même que dans les réflexions de la causalité phénoménologique et scientifique