Commentaire chene et le roseau
Lecture
Reprise de la question posée • fable classique
De nombreux indices semés tout au long du texte nous rappelle l’appartenance de l’auteur au mouvement classique. • vers 7 a 9 : périphrases laudatives : il va faire son éloge. Le chêne est grandiloquent lorsqu’il dresse son portrait et méprisant quand il parle du roseau. • vers 10 : « aquilon » et « zéphyr » font référence aux termes que l’on utilisait dans l’antiquité qui signifiaient les vents, aquilon était le dieu des vents… • vers 15-16 : longue périphrase qui concerne pour une fois le roseau mais qui est défavorable : « humides bord », « nuisible du royaume du vent » => il est soumis a deux fragilités. • Vers 24 au 27, présence de La Fontaine, le narrateur, on est revenu dans le récit classique. Imparfait « disait » seulement pour dramatiser son propos, il commence au passé et finit au présent => la fontaine dramatise son récit ce qui sera d’autant plus efficace. • Périphrase qui prouve que c’est un auteur classique. • « empire des morts » rappelle l’antiquité => classicisme.
• Apologue.
• récit court et plaisant. • cadre flou vers 1 : le chêne et le roseau sont cités, définis par un article qui les rend proche de nous. • Intrigue simpliste.
• argumentation indirecte. • personnages stéréotypés : chêne => puissance. Roseau => frêle. • hétérométrie et discours direct qui