Commentaire composé, le clezion, les fumées.
J.M.G de Clezio ou Le Clezio est un auteur français contemporain, récompensé en 2008 par le prix Nobel de littérature. C’est également un voyageur et un explorateur, il aime tous particulièrement les cultures Amérindiennes. Il est fasciné par leur vision du monde et leur spiritualité. Comme ce texte empreint de spiritualité, qui pousse le lecteur à réfléchir sur la place de l’homme dans un monde si vaste. Dans ce texte l’auteur, ou Le Clezio décrit un paysage simple et réaliste puis dépasse cette description en abordant de façon implicite le sujet de la spiritualité.
La première impression après la lecture de ce texte, est une impression de banalité, en effet, l’auteur décrit un paysage ordinaire et intemporel. Il n’y a aucune précisions de lieu, ni même de temps. L’auteur cherche a donner une impression de déjà vus au lecteur, un vague souvenir d’un lieu que lui aussi aurait contempler dans sa jeunesse. Cette simplicité apparente est dû au point de vus interne. En effet cette description est faite par un seul observateur, qui décrit comme il vois et comme ressent le paysage. Des le début du texte (première phrase) il a un point de vus subjectif puisque celui-ci entame son texte par : « elles sont belles, les fumées » . Cette subjectivité nous permet de penser que l’auteur apprécie ce lieux, peut être l’a-t’il déjà vus ? Ou peut être rêver ? La description est faîte en vue plongeante, comme si l’auteur étais placé en hauteur par rapport au village, peut être sur le versant, avec le village dans une petite vallée, « Du haut d’une montagne, je vois les fumées qui s’élèvent au-dessus des plaines et des vallées. » En outre dans sa description l’auteur évoque une vie humble et faîtes des joies de la terre: « ils ne cherchent pas à découvrir de nouveaux horizons. Attachées aux champs de vignes, aux champs de blettes et de pommes de terre, les maisons fument. » Le Clezio est attacher aux valeurs familials, en effet