commentaire composé victore hugo "pasteurs et troupeaux"
Ce poème, comme beaucoup d'autres chez Victor Hugo, nous montre l'importance de la nature. Dès le premier vers « le vallon où je vais tous les jours est charmant » montre qu'il aime s'y promener et observer le tableau qui s'offre à lui. Tout le long du poème il décrit ses alentours et personnifie la nature « L'ombre fait l'amour » v.7, « L'idylle naturelle rit » v.7, « le bouvreuil avec le verdier s'y querelle » v.8, « des mousses riantes » v.12 « le crépuscule étend […] ses ailes de fantôme et de chauve-souris » v.28. Il assiste à une scène qu'il juge ironique « Une petite mare est là, ridant sa face, prenant des airs de flot pour la fourmi qui passe, ironie étalée au milieu du gazon » v.15 et 16 cette scène peut aussi être qualifiée d'amusante. Puis, plus tard au cours de sa promenade rencontre une jeune gardeuse de chèvre accompagnée de chèvre, de brebis, d'agneaux et de béliers. La jeune fille semblable à un ange « le pauvre ange » v.26 avec ses beaux yeux bleus est un élément doux du paysage cependant accompagné par un lieu sinistre « De noirs granits bourrus » v.11, « roche hideuse » v.19, « ravin noir » v.21, « Un vieux chaume croulant » v.22 qui montre bien que malgré le fait que ce paysage soit