. on s'aperçoit que le texte nous parle des différences (avantages et inconvénients confondus) que propose L'homme de société par rapport à "l'Homme sauvage".

2. Rousseau se demande si la société, la vie moderne au sens où l'on doit penser à son comportement pour entrer dans un cadre que l'on s'est soi-même instauré (exemple : Notre société se trouve être si complexe qu'aujourd'hui, il nous fait 20 ans d'étude pour pouvoir la maîtriser, et non la subir ). -à toi de citer le texte pour argumenter, mais donne aussi des exemples extérieurs, cela montre que tu as compris le texte et que tu peux le rattacher au présent (Rousseau => XVII siècle quand même)-

3. Ensuite on trouve sa réponse. Rousseau nous dit que La raison, dont on vante quotidiennement les bienfaits, (un homme raisonnable est sain d'esprit, il ne fait pas de bêtises ...) se trouve, lorsqu'elle est excessive, être destructrice et mauvaise.

4. "C'est elle qui engendre l'amour-propre". Nous savons tous que l'amour propre exagéré devient du nombrilisme, du narcissisme, de l'égocentrisme.
De même que la réflexion rend l'Homme fort. non pas qu'être réfléchi accorde quelque force que ce soit, mais que pouvoir réfléchir accorde la force d'endurer des épreuves sur lesquelles nous avons des vues réduisant l'effet néfaste à peu. Mais, encore une fois, lorsqu'on est dans l'excès de cette valeur, "l'Homme se replie sur lui-même", et se "sépare de tout ce qui le gène et l'afflige". Dans ce cas alors, en effet, l'Homme est fort, mais non pas parce qu'il endure des difficultés sans en pâtir, parce qu'il n'endure plus rien du tout ! Un Homme qui n'est pas confronté à une épreuve est à première vue fort puisqu'il n'est pas chargé du poids de cette épreuve, mais est en réalité vulnérable, puisqu'au moindre problème, il sera totalement démuni, du fait qu'il n'a érigé aucune connaissance, n'ayant jamais été confronté aux choses.