Commentaire de l’arrêt de la cour de la 1ère chambre civile de la cour de cassation du 24 mai 2005
M.X fait grief à l’arrêt de la cour d’appel de Versailles du 1er mars 2002 au motif que le silence ne vaut pas acceptation donc la cour d’appel à violé les articles 1101 et 1108 du code civil, et qu’il appartient au créancier, qui demande l’exécution, de rapporter la preuve de l’existence de l’accord résultant de l’acceptation de l’offre et sur ce moyen, la cour d’appel à violé l’art 1315 du code civil. On peut donc légitimement de demander si le silence d’une des parties vaut-il acceptation de volonté dans le cas ou celle-ci aurait auparavant accepté, même sous la contrainte administrative, à travers un arrêt, les conditions du contrat susvisé ?
A cette question, la cour de cassation à répondu par l’affirmation au motif que le silence ne vaut pas lieu d’acceptation, mais dans des circonstances particulière, en l’espèce, les fouilles ont été prise en contrainte de l’arrêt signé par le demandeur. A la suite de la réception de ce devis, le silence du demandeur avait donc signification d’exécution.
Suivant cette logique, la cour d’appel n’a pas fait d’inversion de la charge de la preuve en demandant au demandeur de manifesté expressément sa