Commentaire extrait germinal emile zola
1134 mots
5 pages
En 1885, Emile Zola écrit son roman intitulé Germinal. L’extrait qui va être étudié est situé au troisième chapitre de la troisième partie. L’extrait commence depuis « Etienne recommençait à parler » jusqu’à « avant de s’endormir ». Ce texte peut être divisé en 2 grandes parties. La première partie allant depuis « Etienne recommençait » jusqu’à « comme prise de froid » fait sujet d’un discourt d’Etienne chez les Maheu. Le deuxième sujet commence avec « Mais la Maheude regardait » et finit avec « avant de s’endormir ». Cette deuxième partie se différencie de la première puisque c’est le retour à la réalité des personnages après le discourt. Les personnages doivent aller se coucher pour aller travailler le lendemain. Ce commentaire suivra une analyse linéaire, suivant l’ordre et la chronologie du texte. La première partie commence avec une phrase courte décrivant la situation, Etienne est en train de donner un discourt aux Maheu. Etienne qualifie de « vieille » la société et dit qu’elle va « craquer », ceci nous emmène à une idée de renouvellement de la sociéte et peut être lié à la révolution. Mais l’auteur nous indique qu’en réalité, Etienne ne comprends pas beaucoup que lui-même dit, son seul avantage par rapport aux autres et qu’il sait lire et écrire, mais il a la même formation que les Maheu par exemple. Cela se voit dans les expressions utilisés ou figures de style comme « baiser « universelle » qui est en réalité une métaphore, faisant référence à la paix mondiale, une réconciliation après la révolution prédite. Mais un peu avant, une allitération peut être considérée, celle-ci répète le son « s », un grand nombre de fois : « Tous les systèmes y passaient adoucis d’une certitude de triomphe facile ». Cette allitération en « s » donne plus de relevance au mot « adoucis » qui suggère une ambiance silencieuse, et discrète. Si nous regardons cette phrase encore de plus près, nous nous rendons compte qu’Etienne essaie de transmettre de la sécurité