Les Justes, Camus

Albert Camus en en 1913 à Mondovie. Les Justes est une pièce constituée de 5 actes, Parut en 1949. Dans cet extrait, les deux protagonistes ont un débat sur ce qui, pour eux, est « Juste » ou non. D’où e titre de la pièce : Les justes. Nous allons voir tout d’abord en quoi cette scène est une scène de débat puis ensuite plus précisément en quoi est-ce un débat philosophique?

Au début de l’extrait c’est Stepan qui mené ce débat, il nous dévoile ses arguments. Pour lui cette révolution est un « remède » cette comparaison est illustrée dans la métaphore suivante : « la révolution qui veut guérir tous les maux». Il dit avoir LA vérité et réfute catégoriquement les avis des autres personnages. « La vérité est que vous ne croyez pas en a révolution ». Il insiste bien sur le fait, que les autres doutent d’eux même, peut-être pour les faire réagir ? Pour montrer qu’il est très confiant ? Comme il le dit « J’en suis sûr. » et « «Ne comprenez-vous donc rien ? ».
Stepan exprime sa grande volonté d’être libre cela est montre dans a didascalie suivante « violemment » : on peut dire qu’il vit ses idées. La justice est ce qui compte le plus pour lui, cela est prouver par l‘utilisation du champ lexical de la justice.
Parmi ses arguments on peut voir la maxime suivante: «Mais l’orgueil des hommes, leur révolte, l’injustice ou ils vivent, cela c’est notre affaire a tous ». Ça montre que pour lui la situation est claire, ainsi que le rôle de chacun. Il essaye de faire valoir sa conception des choses, mais pour qu’elle soit acceptée, avec son raisonnement analogique il dévalorise, diminue la grandeur du combat pour y enlever toute gravite. C’est illustrer dans sa comparaison de l’injustice de la situation de la Russie avec l’injustice d’un vol de pain. Puis c’est au tour de Kaliayev, de se « révéler » au milieu de l’extrait. Dès le moment où il «se lève », il prend de l’assurance et affirme ses idées. Il dit même clairement a Stépan : « Je ne