Les confessions est une dès œuvres les plus difficiles de Rousseau car il dit la vérité sur lui-même en racontant sa propre histoire. Il se pose beaucoup de questions sur lui-même ainsi que sur ses choix, ses prises de position et ses conceptions philosophiques.
Il a une idée précise du bonheur, rousseau trouve que la nature est comme un havre de paix excellent à l'épanouissement de l'homme. Il va aux Charmettes, où il connaît les plaisirs de la nature et de la campagne contrairement aux stupidités de la vie et les angoisses de la vie d'écrivain. Un bonheur qui trouve parfait, qu’il idéalise et qu'il souhaite écrire
Passé idéalisé
Dans cet extrait Rousseau, explique que son bonheur c’est construit grâce aux moments passés aux Charmettes avec Madame de Warens. En disant de ce « court bonheur de (sa) vie » l'image d'une réalité chagrinée par le malheur. Le bonheur comme il le perçoit est en relation avec une période bien marquée de sa vie celle durant laquelle il n'a pas eu à souffrir de problèmes personnels ou de critiques. Ainsi Rousseau prend conscience que le bonheur est quelque chose de fragile, et qu’il ne peut pas contrôler surtout lors d'expériences douloureuses. Un bonheur bref et précieux on peu le voir car il a utilisé l'anaphore de l'adverbe « ici » : c’est une façon pour Rousseau d'amadouer le lecteur pour qu'ils le jugent avec plus de gentillesse que le lecteur prenne parti, mais aussi de montrer qu'il a été marqué par ces « paisibles mais rapides moments », des « moments précieux et si regrettés! »Il met des apostrophes au phrase aux moments de ses bonheur intense comme s'il s'agissait de quelque chose de vrai, il parle à ses souvenirs, comme pour que ça lui reviennent plus facilement dans sa tête. Les exclamations permettent le lyrisme, une emphase, une amplification aussi grosse qu’à son désir de rattraper le temps qui augmente, il lui permet de « revivre » par l'écriture ce bonheur si précieux. Mais c'est un bonheur faisant référence