Commentaire le temps de vivre
Boris Vian est un touche-à-tout en matière d'art , écrivain français mais aussi poète, parolier, chanteur, scénariste, critique et musicien de jazz, il a par exemple écrit ces deux œuvres plutôt connu «l'écume des jours» et «l'arrache cœur». Boris Vian est née en 1920 et est décédé à l'âge de 39 ans d'une crise cardiaque. Il est issu d'une famille aisée.
Il appartient au courant littéraire du surréalisme, pataphysique et du pessimisme, d'après lui le monde va nul part. Suite à un mouvement existentialiste selon lequel l'homme serait le seul responsable de ses propres actes il écrit en 1954 et publie le «Le temps de vivre» qu'il appellera aussi «l'évadée», Boris Vian en fera aussi une chanson. C'est un poème antimilitarisme.
Quel message Boris Vian veut il faire passer à travers ce poème?
Analyse du recueil.
On remarque très rapidement que «Pourvu qu'il me laisse le temps» est répété. En tout 4 fois (l9 -l15- l19- l21), et c'est un élément clé du poème.
En faite ces phrases sont rythmées, comme un souffle qui respire de plus en plus vite.
La premières phrase apparaît après 8 vers, c'est une sorte de transition entre le passage d'avant et celui qui va suivre.
La deuxième se trouve après 6 vers, c'est une transition entre la course que l'évadée a eu et le moment ou il va s'arrêter près de l'eau, à ce moment là, il prend son temps.
La troisième se trouve après 4 vers, cette fois ci c'est une transition entre son arrêt et la course qu'il reprend.
La quatrième se trouve après seulement 2 vers, c'est le court moment où il tente de reprendre sa course et celle où «l'abeille de cuire chaud va le foudroyer».
Le souffle va de crescendo et va d'étape en étape.
Pratiquement chaque phrase employé dans ce poème a un sens caché.
Par exemple «Une abeille de cuivre chaud» est une métaphore qui voudrait comparer cette abeille à un impact, comme une balle qui serait tirée.
«foudroyé» est