Commentaire "les beoufs"
Introduction :
La campagne est lieu reposant et calme, où le soleil luit sur les champs où les paysans y travaillent..
Paul Fort, auteur et dramaturge francais, né en 1872 à Reims et décédé en 1960, en a rédigé un poème intitulé « Les Boeufs » en 1898. Ce texte, extrait du recueil « des Ballades Françaises » composé de 37 volumes, est un verset d'alexandrin, nous décrivant le travaille des boeufs dans une campagne fleurie sous un soleil couchant et montrant l'harmonie et la beauté du travail paysan à la campagne. Afin d'étudier ce texte, nous allons en premier lieu examiner la submersion des sens avec les odeurs et la magnificience de la campagne. En seconde partie, nous allons analyser la symbolique du couchant mêlé à l'apaisement, à la jeunesse et à la tendresse. Enfin, nous allons supputer la nuit ainsi que ses conséquences.
Tout d'abord, ce texte est présenté sous forme d'un verset de 5 strophes nous renvoyant l'image d'un champ labouré. Écrit en prose, nous pouvons par ailleurs en délimiter des vers dans chaque strophe, composée de rimes embrassés. La narrateur nous décrit le travaille des bœufs à la campagne au moment des moissons. Nous pouvons relevé le champ lexical de la nature : « champs » l1 « coteau » « moissons » l2 « herbe » « prairie »l4 « luzerne » « thym » « terre » l5 ainsi que le champ lexical du travail des animaux au champ : « descendaient » « trainant » l2 « glissait » « soulevait » l4 « venaient » l6 « remonter » « labouraient » l14.
Le narrateur se sent comme libre et submergé d'odeurs « soulevait des vapeurs » l4 « flots de senteurs » « j'ai vécu des senteurs ». Il vit la scene, et nous le montre par la répétition du verbe vivre et l'instance l10 « O j'ai vécu, ce soir, j'ai vécu de senteurs ! ». De plus, il nous dit explicitement ces odeurs : « le thym et la luzerne venaient se perdre jusqu'à moi » l5-6L'image que les odeurs se perdent jusqu'à lui nous renvoi l'impression qu'il est