Adèle Pitou Commentaires littéraires 2nde 11
Camille Vendange

La bête humaine, dix-septième volume de la série des Rougon-Macquart, roman écrit en 1890 par Emile ZOLA, un écrivain célèbre du projet du naturaliste au 19e Siècle. Dans cet extrait ZOLA évoque le monde du chemin de fer, et plus particulièrement de la Lison, une locomotive. Zola nous présente d’une façon réaliste la généralisation de la machine à vapeur au 19e siècle, qui entrainera un bouleversement dans l’essor industriel de la plupart des pays. Pour montrer que la personnification de la Lison est flagrante, nous verrons tout d’abord les caractéristiques humaines attribuée à la Lison, puis en second plan, la déchéance jusqu’à la mort de la locomotive démontré.

Dans cet extrait, la comparaison entre la locomotive et un cheval se fait par le biais de plusieurs comparaisons, personnifications, voire gradations. Elles souvent liés, en effet dans ce texte, les comparaisons parfois sont aussi des personnifications. Les indices spatio-temporels nous montrent que le récit se déroule en hiver, dans un train: La Lison, qui elle, tente de regagner sa destination en vint des obstacles qu’elle doit traverser. Le narrateur de ce récit est omniscient, on peut le constater en vue des pronoms utilisés ainsi que des connaissances acquises par le narrateur qui lui connaît tout. Zola a pour cet extrait utilisé que de la narration descriptive. La première comparaison est : «comme un œil de cyclope » (l.5), ici, le fanal est comparé à une créature fantastique, qui souvent dans les comptes représente quelque un être plutôt malveillant. Juste après, on peut trouver une hyperbole « cet œil largement ouvert » (l.6) augmente le sentiment de l’arrivé du danger, le fait de parler d’un œil largement ouvert peut faire penser à la peur, la Lison ouvre grand l’œil pour faire « attention » au moindre