Commentaire scène du meurtre de l'etranger de camus
Le personnage narrateur s’appelle Meursault. Sur une plage, sous le soleil de midi, il se trouve face à un arabe qui lui parait dangereux.
Il y avait déjà deux heures que la journée n'avançait plus, deux heures qu'elle répétition avait jeté l'ancre dans un océan de métal bouillant. A l'horizon, un petit vapeur métaphore est passé et j'en ai deviné la tache noire au bord de mon regard, parce que je
n'avais pas cessé de regarder l'Arabe. J'ai pensé que je n'avais qu'un demi-tour à
faire et ce serait fini. Mais toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière métaphore personifiante moi. J'ai fait quelques pas vers la source. L'Arabe n'a pas bougé. Malgré tout, il antithèse était encore assez loin. Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l'air
de rire. J'ai attendu. La brûlure du soleil gagnait mes joues et j'ai senti des
gouttes de sueur s'amasser dans mes sourcils. C'était le même soleil que le jour allitération où j'avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et
toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. A cause de cette brûlure que allitération je ne pouvais plus supporter, j'ai fait un mouvement en avant. Je savais que
c'était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d'un allitération pas. Et cette fois, sans se soulever, L'Arabe a tiré son couteau qu'il m'a présenté
dans le soleil. La lumière a giclé sur l'acier et c'était comme une longue lame métaphore + comparaison étincelante qui m'atteignait au front. Au même instant, la sueur amassée dans
mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile allitération tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel.
Métaphore
Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement,
Allitérations : S+L, métaphore le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante
deux