Commentaire sur graziella
La Chartreuse de Parme (chap. XXVIII, p.638-639), Stendhal
Stendhal, dans La Chartreuse de Parme, nous raconte la vie d'un jeune homme Italien, Fabrice. La chose principale qui tourmente la vie de Fabrice est l'amour car il est épris de deux femmes, sa tante, Gina, et Clélia. Dans le dernier chapitre du roman, Fabrice, devenu évêque, revoit Clélia, lors d'un serment qu'il fait, après des mois. Quand il arrive chez lui, il reçoit un billet l'invitant dans un lieu précis et à une heure précise. Cependant celui-ci est anonyme.
L'organisation narrative du passage étudié amène-t-il à la décision de Fabrice et Clélia? Au départ, il y a la situation initiale qui est animée par du mystère, de la curiosité, qui engendre le désir. Par la suite, il y a la complication de la situation qui se met en place avec l'aveu de Clélia et son importance avec les interdits, puis la jalousie et les explications. Et pour finir la situation finale qui présente l'amour de Clélia et Fabrice comme étant tactile et auditif, ensuite il y a à nouveau du mystère.
Au début du passage règne un sentiment de désir et de curiosité, où se mêle un certain mystère.
La "porte" indiquée dans le passage apporte du mystère, puisque la porte est le symbole du passage vers l'inconnu et du renouveau. Fabrice ne sait pas qui sera derrière la porte le soir, le billet ne donnait que le lieu mais pas la personne donc le mystère reste complet sur celle qui l'invite. C'est devant cette porte que Fabrice fait les cents pas, "dix fois dans la journée Fabrice trouva le moyen de la voir", cette vérification de l'endroit marque une sorte de répétition de l'action. Fabrice veut être sûr du lieu, mais sa curiosité engendre de l'impatience, il veut à tout prix savoir ce qu'il va se passer et qui sera au rendez vous. Quand il va à la rencontre de la personne qui lui donne rendez vous, il y va "d'un pas rapide" se qu'y prouve qu'il est vraiment pressé d'y aller. Il prend les "armes" donc il