Commentaire sur la tirade finale de rhinocéros d'eugène ionesco
La solitude de Bérenger l'amène à se dresser un prtrait idéaliste et faux sur les rhinocéros, ligne 13 et ligne 15 alors que le champ lexical de la laideur est associé à la description de l'homm, ligne 7 ainsi que ligne 12. Cela montre le dégout qu'a le personnage pour sa nature humaine et son désir de devenir un rhinocéros. Il perçoit le chant des animaux comme beau, ligne 15, alors que le barrissement qu'effectuent les rhinocéros n'est ni gracieux ni appréciable. A l'aide de l'oxymore de la ligne 14 le dramaturge souligne l'idée fausse que ce fait le personnage. Le locuteur s'appuie sur des comparaisons entre l'homme et le rhinocéros pour accentuer l'idéalisation de cet animal, ligne 19 et 20.
Le personnage de Bérenger remet en cause l'originalité des hommes. En effet tous les hommes de la pièce étant devenus des rhinocéros pourraient représenter la masse humaine qui est identique et le personnage de Bérenger représente l'originalité, l'homme ne voulant pas suivre le mouvement, le résistant. A la