COMMENTAIRE COMPOSE SUJET 1 : Vous commenterez l’article « rire » du Dictionnaire philosophique de Voltaire, proposé dans le parcours « rire et savoir ». Le Siècle des lumières est marqué par la rédaction de l’Encyclopédie, rédigée des décennies durant par un ensemble d’auteurs centraux de ce mouvement, dont Voltaire a fait partie. Lui-même s’est essayé à ce type d’écriture, de manière …afficher plus de contenu…

Tout d’abord, cela nous le montre car il construit son texte savamment et il est convaincant dans ce qu’il écrit. En effet, Voltaire rédige ce texte en ayant un savoir solide, en matière d’érudition et de science, dont c’est ce qui nous amène à croire ce qu’il évoque. Ainsi, Voltaire veut parvenir à définir selon lui ce que le rire. Pour cela, il instruit sa propre définition avec des vocabulaire de science comme « muscle zygomatique » « muscle de la bouche » « métaphysique ». Voltaire n’hésite pas à rajouter, lorsqu’il raconte sa propre expérience sur le rire, ses connaissances sur des références, comme « l’Amphitryon de Molière » ou comme cette question « Était-ce par fierté que le maître de l’âne d’or se mit tant à rire quand il vit son âne manger son souper ? » où il fait référence au …afficher plus de contenu…

Voltaire le montre, tout d’abord, avec un parallélisme « Ceux qui cherchent des causes métaphysiques au rire ne sont pas gais ; ceux qui savent pourquoi cette espèce de joie qui excite le ris retire vers les oreilles le muscle zygomatique, l’un des treize muscles de la bouche, sont bien savants. », ce qui met en opposition les personnes qui veulent comprendre la raison du rire et les personnes qui savent juste rire, c’est donc pourquoi elles en deviennent plus savantes. Voltaire souligne que le rire n’a pas de lien avec le savoir, ni avec un autre sentiment comme peut le constatez lorsqu’il affirme « était-ce par fierté ? On n’est point fier quand on est à la renverse ». Il en conclue même à la fin avec un présent de vérité générale « Quiconque rit éprouve une joie gaie dans ce moment-là, sans avoir un autre sentiment », où il explique que tous les hommes rient à l’intention d’une émotion plaisante et non pas par