Commentaire de texte eichmann à j'annah arendt
Ce texte extrait du livre Eichmann à Jérusalem d'Hannah Arendt philosophe
Allemande du 20ème siècle se disant « politologue » et non philosophe.
Ses ouvrages sur le phénomène totalitaire sont étudiés dans le monde entier et sa pensée politique et philosophique occupent une place importante dans la réflexion contemporaine. Dans cette extrait la politologue s'attaque à l'affaire Adolph
Eichmann, nazi aillant organisé l'extermination de masse au côté d'Adolph …afficher plus de contenu…
Dans une seconde partie Eichmann justifie ses actes derrière la philosophie de
Kant.
La Thèse est ici la dernière phrase dite par Kant.
L'héritage du procès Eichmann est inséparable de L'idée de « banalité du mal ».
Dans le texte, selon lui, il se comporté en « citoyen qui respecte la lois » et ne comprenait pas pourquoi il serait accusé pour avoir commis des crimes alors qu'il ne faisait que respecter les ordres qu'il suivait à la lettre tout en respectant la lois :
« respectait la loi » et « faisait son devoir ». On peut remarquer que l'obéissance au ordre et à la lois sont distinguées par Eichmann, à raison, car un ordre donné peut être contraire à la lois et en disant cela il espérait être « couvert ». Cependant …afficher plus de contenu…
Est ainsi illustré les paroles de Arendt : « l'illusion que ce qui est absolument sans précédent peut être jugé en fonction de précédents et de critères ». Eichmann est un bureaucrate banal sans précédent de violence qui pourrait laisser penser qu'il aurait pu effectuer de tel acte, comme le dis cette phrase « Eichmann banal bureaucrate sans précédent va être jugé de la même façon qu'un Homme aillant lui des précédents ».
Par la suite Eichmann fait référence à Kant et dit avec assurance que toute sa vie, il a suivi sa pensée. Rappelons que la pensée de Kant repose sur la capacité de l'Homme à pouvoir juger avant d'agir, ce qui serait alors contraire à ce que
Eichmann disait au début du procès se défendant en invoquant « l’obéissance