Commentaire e texte
Chez Napoléon Bonaparte (1769-1821) illustre empereur Français, il subsistait l’idée que : "Nulle société ne peut exister sans morale. Il n'y a pas de bonne morale sans religion. Il n'y a donc que la religion qui donne à l'Etat un appui ferme et durable. "
Bien avant lui, l’empereur byzantin Charlemagne concordait avec cette même idée. Pour ce dernier aussi, l’unité religieuse du royaume était inéluctable à l’unité politique. Ainsi, lorsqu’à la fin du VIème siècle il se trouve au cœur de litiges clérical dans son empire, il s’affaire de les résoudre.
En effet lors de son règne dans le royaume franc, l’Eglise est très diversifiée. Les conciles mérovingiens ou plutôt les synodes provinciaux avaient formées une certaine unité de l’Eglise séculière. Le dogme était à peu près le même partout, mais la liturgie était très variable, ainsi que la discipline interne. Et de nombreuses altercations étaient à l’ordre du jour dans le domaine ecclésiastique. L’une des principales controverses qui altérait l’atmosphère de l’empire concerné les décisions prisent à propos des cultes de l’image, lors du deuxième concile de Nicée qui avait eu lieu en 787.
Subséquemment, au premier siècle de notre ère, en 794, Charlemagne convoque à Francfort un concile dans lequel il se donne la charge de résorber toutes les discordances demeurantes.
Ainsi, dans cette assemblée réunissant grands nombres d’évêques et théologiens, Charles 1er « investi le rôle de pape » ou encore « docteur de la foi »; et prend le rôle de médiateur entre Dieu et les fidèles. De fil en aiguille, il détermine les canons de l’orthodoxie et se montre tout aussi déterminé en ce qui concerne les réponses nouvelles apportées sur le culte des images. Le roi prend la tête du mouvement théologique, et tous les convives du concile s’associent aux conclusions du roi. Tant surprenant que cela puisse paraitre, même le pape n’éprouve pas la nécessiter de