Commentaire l'île des esclaves scène 3
Commentaire littéraire
Marivaux a écrit l’Île des esclaves en 1725. C’est un dramaturge du 18e siècle. Dans la scène 3, il y a une inversion des rôles entre les maîtres et les valets. Dans cette scène Cléanthis reproduit le portait d'Euphrosine. La tirade étudiée sera en rapport avec le réveil d'Euphrosine après une mauvaise nuit. En quoi ce renversement de rôle a-t-il une critique visée. Dans un premier temps …afficher plus de contenu…
Cléanthis parle au présent de l’indicatif, « Madame se lève » (l.12). Le mot « cependant »(l.20;24) marque une intervention de la pars de Cléanthis. Pour présenter Euphrosine, elle utilise le pronom « on ». Quand Cléanthis parle des circonstance les passages sont courts. D’après la ponctuation qu’elle utilise Cléanthis caricature sa maîtresse Euphrosine
« Qu’on m’habille » (l.14) Nous pouvons dire qu’il y a un mépris et un regard abaissant.
Nous pouvons dire que Cléanthis se moque de sa maîtresse tout en ayant un regard abaissant et du mépris envers elle. Nous passerons maintenant au théâtre dans le théâtre.
DUCLOS …afficher plus de contenu…
Une hyperbole des exagérations des angoisses de la maîtresse « il y a huit jours que je n’ai fermé l’oeil » (l.28). Nous remarquons que l’actrice ne s’adresse pas seulement aux personnages de la scène, mais aussi aux spectateurs.
Nous pouvons dire que nous avons une vraie mise en abyme. Car nous avons l’oeuvre principale, est à l’intérieur de celle-ci, nous avons une oeuvre qui reprend des actions de l’oeuvre principale. Parlons maintenant d’une satire sans complaisance.
Euphrosine est représentée comme une femme obsédée part la beauté artificielle. Nous pouvons dire que cette tirade apporte un moral, car dans le discours que Cléanthis tiens nous