Commentaire les voiles baudelaire
Il y montre un désir de voyage s’intensifiant à travers le texte en « rev[ant] » et « pens[ant] », aux vers 3 et 4, à certaines contrés maritimes. Cette idée du rêve s’intensifie au vers 14 en parlant de « champ de [s]es rêves chéris », il y montre ici une passion romantique des rêves que nous comprenons grâce au substantif « chéris ». Nous voyons que le poète réussi ici à imager ses rêves avec les « continents de vie » ou encore les « îles de joie », qui sont tous les deux des métaphore servant à mêler le réel à l’imaginaire. Le poète décrit ici un sentiment d’envie s’opposant à l’enfermement, il souhaite une liberté totale. Dans le premier vers, Lamartine s’imagine avec des « ailes » aux vers 1 et 2, qui sont habituellement associés aux oiseaux. Cette métaphore représentant un volatile est symbole de liberté car …afficher plus de contenu…
Ce vocabulaire ayant un sens pessimiste montre bien que le poète ne partage pas le même avis qu’auparavant. Nous avons l’impression que le poète effectue une distanciation entre « les flots » et lui -même en changeant l’article défini « les » par le démonstratif « ces ». Il s’agit aussi du fait que le poète semble fragilisé. Dans le quatrième et le cinquième quatrain, les mots « ailes semés », « débris » et « foudre » peuvent nous faire penser à une tornade qui aurait causé les séquelles du poète. Au vers 15 et 16, une allitération en [m] se fait entendre dans le texte. Cette sonorité est collante, comme si l’oiseau que représentait le poète était plaqué au sol. Un autre allitération, cette fois-ci en [r], se trouvant aux vers 3 et 4,