Commentaire sur l'incipit de la chartreuse d'aubrien
Ils ont en commun d'exprimer une douleur à l'état brut animal les "prisonniers misérable" (l.1/2), diffèrent peu désirions du cirque" (l.4), C'est d'ailleurs aux premiers que L'adjectif "sauvage" l.3 est rapportée mais du fond de sa simplicité primitive cette souffrance fait écho à sa propre douleur on peut imaginer Hadrien "répétant sans cesse le même nom" l.3, celui de l'aimer dans une pareille protestation lui aussi "dépéri"l.4 pour avoir perdu le compagnon avec qui il s'était "accoutumé" l.5 à vivre et qui avait pour lui la fidélité d'un "chien", l.4. Dans cette première divagation du souvenir et quelle que soit la résonance qu’Hadrien ait trouvé avec sa propre douleur le passé simple "ressemblait" l.5 notes une rupture dans le verbe marque l’efforts volontaires pour se recentrer sur …afficher plus de contenu…
Les morts de la famille forment une nouvelle série dont l'intensité émotionnelle va décroissante. Hadrien nous a déjà raconté la mort de son grand-père Marullinus plutôt dans le livre il y a ajouté ici son violent chagrin qui manifeste non seulement son "hurlement" l.5 mais aussi la précision cruelle de "déchiqueter" l.6 toutefois avec la conjonction "mais" la seconde proposition ramène ce chagrin à une création "animale" qui rappelle étrangement les précédents. La mort de son père semble désordonner l'expérience du deuil "désordre" l.7 qu’elle provoque dans "la maison" l.7 "chez sa mère" l.8 et en lui-même. Quand a la mort de sa mère elle est probablement examinée à double titre dans l'espace ("mission en Pannonie" l.9 et dans le