Commerce international
40% partiel, 40% recherche, 20% participation
= « échange », « dimension interculturelle », « territoire », « délocalisation »…
= Le CI regroupe toutes les opérations d’échanges de biens, servies sur la marché mondial.
Il concerne les pays producteurs de biens ou services destinés aux marchés étrangers.
Correspond à l’ensemble des flux de marchandises (biens) et au sens large de services entre les espaces économiques nationaux
(NB : les flux de services sont pris en compte car leur part progresse rapidement dans les échanges internationaux (le transport, le tourisme et les services aux entreprises).
Réflexions
Pourquoi les nations échangent-elles entre elles ? les pays on besoins des produits des autres, du à la spécialisation des nations.
Le CI constitue un moteur ou un frein à la croissance ?
Ne contribue-t-il pas à la perte d’autonomies des Etats ?
Les échanges des capitaux relèvent-ils du CI ?
I. La vision macro-éco des échanges
Débat théorique Le moteur de la croissance permettant à tout pays de se développer ( à l’image, par exemple, des NPI asiatiques).
Vs.
Un facteur négatif sur certains pays (marginalisation des PVD), sur certains secteurs (disparition de secteurs traditionnels tels que le textile en France), ou bien encore sur l’emploi (hausse du chômage)…prônant alors le recours à des mesures protectionnistes.
Le CI est un moyen qui a du pour et du contre, il suppose qu’on vend à l’étranger ce dont on ne vend pas en France,
Le debat économique la fonction du commerce est de faire circuler les biens et les services et de participer à la division du travail Pour que le commerce ait une incide sur les PIB il faut qu’il provoque une spécialisation des économies (Théorie de Ricardo – Vin portugais / drap anglais). L’équilibre coopératif du commerce international est un équilibre constructif (, l’équilibre concurrentiel du commerce international est un équilibre destructeur