Communication
Dans la situation que je vais vous décrire, je vais mettre en avant différant types de communication lors d’une aide à la toilette avec Mr Y. âgé de 89 ans. Ce patient est atteint de démence type Alzheimer. . Il communique peu verbalement, il est souvent dans la négation et a une humeur versatile, il peut devenir très violant pour n’importe quel raison.
B/ DEVELOPPEMENT :
Je frappe à la porte de Mr Y afin d’annoncé mon arrivé dans son espace vitale, je me présente entent qu’étudiant infirmier et je lui annoncer que je vais l’aider pour sa toilette, tout en ayant pris soin de me mettre a sa hauteur pour capté son attention ainsi qu’en lui tenant la main pour le rassuré et établir un climat de confiance.
La communication c’étant établi en douceur il accepte le soin, je continue de lui parler lors du soin afin de ne pas perdre son attention, c’est une conversation linéaire vu que Mr Y ne me répond pas. Je joue le rôle de l’émetteur (qui diffuse l’information) et le patient joue le rôle du récepteur (qui reçoit l’information).
Lors du soin l’ASH entre dans la chambre sans frapper pour débarrasser le plateau du petit déjeuné, Mr Y fronce les sourcille et lève le point au ciel comme si il voulait frapper l’ASH, cette violence est une forme de communication non verbale pour exprimer son mécontentement. Cette réaction est une rétroaction (ou feedback) c’est-à-dire que est le message verbal ou non envoyé par l’ASH est renvoyé sous forme de réaction par le récepteur Mr Y à l'émetteur. La possibilité d'obtenir et de traiter une telle réponse ouvre la voie à la communication bidirectionnelle. Selon les cas, le feed-back consiste à confirmer ou infirmer la réception du message, demander des précisions, relancer ou terminer la