La comparaison entre les principes de direction scientifique (les théories de Taylor présentées précédemment) et cette application ;
LA DIVISION SCIENTIFIQUE DU TRAVAIL
T aylor préconise la décomposition de la production en plusieurs tâches élémentaires et complémentaires.
Les tâches sont observées et analysées une par une. Celles qui font perdre du temps sont supprimées, d’autres sont améliorées. C’est le cas de Gilbreth qui s’est inspiré des travaux de Taylor pour augmenter la productivité dans son entreprise de maçonnerie.
LA RATIONALISATION TAYLORIENNE
Gilbreth met en place une standardisation des procédés cherchant à limiter le gaspillage, une organisation en ligne et une séparation entre les fonctions d’exécution et de conception.
EVITE GASPILLAGE
Gilbreth a supprimé les mouvements de flexion pour ramasser les briques en mettant en place à un échafaudage à hauteur réglable. Les mouvements et matériels ont été retravaillés pour atteindre la productivité maximum.
Taylor préconisait de simplifier et découper les mouvements pour éviter le gaspillage humain, source d’insuffisance de l’efficience nationale.
PROGRESSION/ PRIMES
Les organisations permettent de donner à chaque ouvrier le niveau le plus élève du travail qu’il est capable d effectuer et d’amener les ouvriers à réaliser la production optimum et payer une prime à tout ouvrier qui remplit ces conditions.
FORMATION/ COOPERATION
Coopération entre tous les acteurs + révolution de l’état d’esprit des ouvriers et des patrons :
Sélection, formation, entrainement par les contremaitres et licenciements.
La cohérence du système (convergences des intérêts : direction, syndicats, salariés en
Groupe et individuellement) ;
Une des bases de la direction scientifique est de permettre tant aux employeurs qu’aux salariés d’atteindre la prospérité dans leur travail, bien que leurs intérêts divergent.
L’intérêt principal des salariés est d’être mieux rémunéré, les intérêts des employeurs sont de produire au