Commentaire sur la lettre Xiv

Écrivains, philosophes du XVIIIe siècle s’interrogent beaucoup sur des sujets politiques, tel que Montesquieu qui dans son roman épistolaire « lettres persanes » raconte l’histoire des Troglodytes. Les troglodytes sont un peuple d’ermites vivant dans des maisons incrustées dans la roche. Dans son œuvre ce sont des êtres fictifs qui aiment vivres isolés du monde. Le récit présenté est un roman épistolaire ou est emboité l’histoire de ce peuple mythique. Usbek écrit à Mirza ou il raconte l’histoire des Troglodytes hors du commun qui connaissaient plusieurs régimes. Dans les lettres précédents la XIII, le peuple des Troglodytes était des barbares ou la discorde régnée. Dans la treizième lettre ils instaurent la démocratie basée sur la vertu et en fin dans la XIV ils décident de passer à une monarchie. Nous verrons dans notre étude en quoi est-ce que le récit sous forme d’apologue permet de dénoncer à travers une argumentation efficace ? On commencera par mettre en évidence la présence de l’apologue dans cet extrait et son utilité. Pour ensuite montrer comment est-ce que l’argumentation aide le vieil homme dans sa réflexion ?

Pour commencer, nous pouvons remarquer que ce passage présente un apologue. Un apologue est un conte qui fait passer une morale tout en plaisant au lecteur. Elle veut instruire, enseigner et faire réfléchir. «Comme le peuple grossissait tous les jours », nous pouvons supposer que cette phrase pourrait être remplacée par « il était une fois » cela nous prouve effectivement que ce texte est un conte. Nous remarquons aussi le discours narratif. L’imparfait nous ancre dans l’histoire et nous explique le problème que rencontre les Troglodytes : « grossissait » ; « crurent » ; « fallait » (l.1à5) Les verbes au passé simple déclenche l’action tels que : « convinrent » ; « jetèrent » ; « retiré ». Pour l’énonciation, le récit est conté par un narrateur extérieur