Blaise Cendras, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser, était un écrivain Suisse. Bien qu’il soit de nationalité Suisse, il décide de s’engager en tant que soldat volontaire dans l’armée Française. A ce moment, il a 25 ans. Il porte le matricule 1529. Il raconte que c’est à la veille de l’annonce de la Première Guerre-Mondiale qu’il s’est marié. Il eut par ailleurs avec cette femme, un enfant, plus précisément un Fils, comme il nous le dit lorsqu’il s’adresse à son adjudant Angéli. De plus, on peut ajouter que notre narrateur fait attention, du moins au début de la guerre, à son apparence (Il continu à se raser, mais il sera vite soumis au critique de ses soldats qui lui firent comprendre qu’il était à la guerre, et que l’apparence n’avait pas vraiment d’importance : D’où le nom ‘Poilus’ car les hommes ne se rasaient plus. Au début du roman, il fait beaucoup d’allusion à la saleté.
Homme aux multiples savoir-faire, il met relativement peu de temps à se distinguer. En effet, il se fait nommer assez rapidement caporal. Sûr de lui, n’ayant pas peur de dire ce qu’il pense, modeste, joyeux, intelligent, téméraire, généreux, aventurier, courageux, autoritaire, jeune, et insouciant, tous ces adjectifs le définissent. Pourtant, son cas lors de la guerre fait débat. Tout d’abord, il est très aimé des hommes qu’il a sous ses ordres, alors que, à l’inverse, il est détesté par la plupart de ses supérieurs (mais cela ne fait pas de Blaise un homme soumis, car il ne se laisse pas marcher sur les pieds) cela lui vaudra par ailleurs quelques mois de prison, pour il faut se le dire, des bêtises qui ne valaient pas la peine d’écoper de punition. Au contraire, c’est en faisant ces bêtises que le caporal ramenait des réponses au camp français quant aux avancées, aux positions et aux plans des ennemis. On peut donc dire que Blaise Cendras était un Homme important lors de la Guerre, que ce soit dans les tranchées ou sur le front.
A plusieurs reprises, le narrateur nous fait