Compte rendue de théâtre rosmersholm
Le jeudi 25 février nous sommes partis à La Comédie de Reims, pour voir la pièce de théâtre Rosmersholm mise en scène par Stéphane Braunschweig, à notre arrivée le rideau est clos on ne sait pas à quoi s’attendre, puis les lumières s’éteignent le rideau s’ouvre sur une scénographie magnifique et très réaliste d’une maison noble, le spectacle commence…
Texte : Enrik Ibsen Traduction : Eloi Recoing Mise en Scène et Scénographies : Stéphane Braunschweig Claude Duparfait : Rosmer Maud Le Grevellec: Rebekka West Christophe Brault: Kroll Annie Mercier: Madame Helseth Jean-Marie Wiling: Brendel Marc Susini: Mortensgard
Rosmerscholm (écrit en 1886 par Ibsen, 7 ans après Une Maison de Poupée qui pose les même questions sur la vie quotidienne, les conflits d’ordre social, familiale et politique…) c’est une histoirequi se passe dans une grande maison bourgeoise à Rosmerscholm et qui tout d’abord commence avec un drame, le suicide de la première femme de Rosmer, Beate ne pouvant avoir d’enfant et par amour pour lui, c’est alors autour de cette évènement que toute l’histoire se construit, nous suivons l’évolution de ces personnages qui veulent échapper à leur passé « les revenants » , « les chevaux blancs de Rosmerscholm », il y a Rosmer un homme qui a renié sa foie et qui a quitté son rôle de pasteur , pour agir et anoblir le monde, pour cela il est poussé par Rebekka West une jeune femme qui se dit son amie et qui loge chez lui (qui se révèlera par la suite manipulatrice) , mais il y a aussi Kroll un homme aux idées politiques conservatrices qui veux rallier Rosmerà sa cause malgré ses idées désormais contraires aux siennes et enfin Brendel le « vieux maitre » de Rosmer. Le spectacle se déroule comme une série de télévision, chaque acte et comme un nouvel épisode, le suspense y est à son comble et tous les épisodes que nous attendons avec impatience sont bourrés de rebondissements. Et Nous observons donc tout au long