Configuration du processus d'organisation du village la mondah
Le 20èmé siècle est celui de l’accélération de l’industrialisation des économies des pays développés avec pour conséquence majeure, l’agression de l’écosystème terrestre. C’est ainsi que l’on assiste au cortège des calamités naturelles tels que les inondations, les tempêtes et les tremblements de terre, tous concourant à enfoncer les populations dans la pauvreté et à les rendre encore plus malheureux. En proie à une mondialisation galopante des échanges, la concurrence est des plus accrues entre les puissances industrielles qui à la recherche de nouvelles opportunités s’intéressent de plus en plus à l’Afrique. Ce continent ainsi que tous les pays dit ‘émergents’ sont devenus des arènes où se battent les éléphants pour écouler les produits de leurs manufactures et y puiser les matières premières nécessaires au support de leurs industries. En Afrique notamment, l’importante dévastation des réserves naturelles est favorisée par la mal gouvernance des responsables politiques. Notre continent «berceau de l’humanité » est en passe de perdre son leadership avec la destruction de sa faune et sa flore doublée de l’appauvrissement de son sous-sol.
Le Gabon qui n’est pas en reste dans cette décadence, en a heureusement pris conscience au point de s’inscrire dans « Les objectifs du millénaire pour le développement » (OMD) alerté par le sommet de KYOTO en 1992. L’objectif principal de notre pays étant d’éradiquer la pauvreté de 50% d’ici 2015, cet engagement formel est la matérialisation d’une vision nationale qui pourrait se traduire par «Un Gabon où il fera mieux vivre d’ici 2015». C’est en alignement à cette vision que Madame Christiane OMBOUIRI s’est engagée et nous fait partager l’idée de la création d’un espace touristique physique et virtuel, dénommé, LE VILLAGE LA MONDAH avec pour ambition d’en faire un modèle avant-gardiste d’adoption des nouvelles théories du management moderne des organisations, comme vous l’a présenté notre