Création d'un nouvel épisode pour le conte « Rose »

à intégré entre « plutôt qu'en simple domestique. » ligne 31-32, p.22 et « Or, un matin, mon concierge ... » ligne 33, p.22

Elle m'étonnait de part son professionnalisme et son enthousiasme malgré sa retenue évidente. Chaque matin, au réveil, mon petit-déjeuner était déjà prêt, composé de deux tartines beurrée et d'une tasse de thé au lait encore fumant. Comme à mon habitude, je m'installait sur ma chaise en velours rouge et une délicieuse odeur de fleurs coupées me surprenait agréablement. Ces bouquets composés de roses contrastait toujours parfaitement avec la nappe en dentelle. Ces petits-déjeuners comme tous les repas par la suite furent incomparables. Je ne devais plus rien lui demandé car Rose devinait tous mes désirs. La maison était parfaitement tenue. Tout était rangé, dépoussiéré, nettoyé sans même que je m'en aperçoive. Rose avait un grand sens de l'observation. Un soir, elle remarqua ma mauvaise mine. Elle me demanda si je me sentais bien et je fondit en larmes. Je lui racontais alors l'histoire de ma petite sœur qui 20 ans auparavant avait été retrouvé morte dans notre chambre lors d'une froide nuit d'hiver avec un couteau planté dans le cœur.
Au fur et à mesure que je lui racontait, je me souvenait du moment ou j'étais descendue dans le salon près de la cheminé pour me réchauffer et, où je m'étais endormie bercé par les flammes du feu ouvert. Je me sentais tellement coupable de l'avoir abandonné. Mes parents affirmèrent qu'un homme avait pénétrer dans la maison par notre chambre et avait sauvagement assassiné ma sœur. On ne su jamais l'identité de ce monstre. Quand j’eus terminé, Rose me consola et me rappela que ce n'était pas de ma faute. Je me confiais souvent à elle car je sentais que je pouvais lui faire confiance. A chaque fois que je lui racontait mes tourments, elle m'écoutait avec attention mais ne disait rien. J'avais besoin d'être écoutée et elle l'avait bien comprit. Toutes mes