Corpus composé de "la ballade des pendus" "heureux qui comme Ulysse" "le 11 juillet 1846, en revenant du cimetière", "les contemplations"
Tout d’abord les poèmes sont le reflet du vécu des auteurs. En effet dans le poème de François Villon, il évoque la mort (« morts » « os » « cendre et poudre ») alors qu’il a composé ce poème lorsqu’il était en prison et il fut par la suite condamné à la pendaison. L’utilisation du pronom personnel « nous » confirme que le poète fait part de son expérience personnelle. La ballade peut être alors vue comme un Testament. Dans le poème « Heureux qui comme Ulysse », Du Bellay confronte l’Italie à la France, son pays natale. Il exprime son regret d’avoir quitté sa terre d’origine « Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village ». Il oppose ses deux modes d’existence et dénigre l’Italie. Il exprime un sentiment de perte, son exil est vu comme une déception et une souffrance.
Victor Hugo a écrit le recueil dont est extrait « le 11 juillet 1846, en revenant du cimetière » en mémoire à sa fille décédée, Léopoldine. Le titre renseigne sur le cadre spatio-temporel dans lequel Victor Hugo a écrit ce poème où il exprime ses émotions dû à la disparition de sa fille. De plus il est dit « on jette sa parole aux sombres assemblées » l’auteur intervient dans un débat politique où il donne son avis personnel. Le poème « El