Corpus de texte Notre Dame de Paris (chap 3), Germinal (chap 1), La Peste (chap 1)
Nous allons tout d'abord étudier l'efficacité de ces textes en se basant sur un chronotope présent et une description des personnages pour ensuite déterminer la fiction romanesque en montrant les sens surdéveloppés des personnages et le coté "fiction" des textes.
Premièrement, ces trois débuts de romans, sont efficaces et rapides. Dans "Germinal" et dans "La Peste", les deux extraits en sont les incipit alors que "Notre-Dame de Paris", nous propose un texte du chapitre III. Quoi qu'il en soit, le chronotope est présent. dans le texte de Zola, nous savons le lieu "la grande route de Marchienne à Montsou" (l.2), à quel moment de la journée nous sommes "il ne voyait même pas le sol" (l.3) montre que c'est la nuit? dans l'extrait de Camus, nous savons que la scène se passe à "Oran" (l.1), "une préfecture française de la cote algérienne" (l.3), en "194.." (l.1). le décor se met en place. Aussi la description des personnages est omniprésente, dans "Notre-dame de Paris", tout l'extrait décrit une jeune femme qui danse. dans le texte B nous n'avons pas de nom mais il y a "l'Homme" (l.8) qui est en mouvement et qui avance seul, hormis la description du décor, il est l'élément moteur de l'extrait. Enfin dans "La Peste", ce sont "les concitoyens" (l.18) qui sont décrits, eux et leurs habitudes dans le texte, "travailler du matin au soir [...]" (l.30).
Aussi la fiction romanesque est lancé. Tout d'abord avec les sens des personnages surdéveloppés. Dans le texte A, le narrateur, Grégoire, semble épris de "cette éblouissante vision", la vue est omniprésente, il scrute chaque parcelle de son corps. De plus "au bourdonnement des tambours", montre un autre sens, l'ouïe. Dans "Germinal", la vue n'est pas le premier sens car, il fait nuit. mais il ressent la chaleur et le froid, les sensations du "paquets près de son flanc,.." (l.9)
Enfin, nous pouvons déterminer le coté "fiction" qui est le