Le corpus de texte est composé de trois apologues. Tout d'abord, un texte de Fénelon écrit en 1718: "Le Pigeon puni de son inquiétude", puis "Le joujou du pauvre" écrit par Baudelaire en 1869. Et pour finir, un texte de La Fontaine écrit en 1678 "Le Torrent et la Rivière". Ces trois apologues sont tous les trois construits sur le principe d'opposition, quelle leçon peut on en tirer ?

Tout d'abord, dans le texte 1, Fénelon nous décrit la vie paisible de pigeons, il nous explique leur bonheur L11 "On entendait le doux murmure de ces heureux pigeons et leurs vie était délicieuse". Or l'un d'eux non satisfait de sa vie préférât s'envoler vers une vie de folie. L'auteur nous montre que certaines fois, nos choix peuvent changer le cours de notre vie.
L'auteur veut faire comprendre aux lecteurs qu'il est préférable de vivre une vie paisible, sans faire de choses extraordinaires sans aventures plutôt que de vivre une vie dirigé par nos rêves, nos ambitions, et de profiter de ce que l'on possède.

Dans l’apologue de Baudelaire, celui ci nous parle de l'égalité. Il décrit deux mondes différents, deux personnages différents. Un monde fait de richesses, de luxe, où les enfants ressembles plus a des jouets trop parfaits, neufs. Or de l'autre côtés de cette grille, ce n'est plus le même monde, plus le même enfant. Mais pourtant Baudelaire nous montre que ces deux enfants sont tous deux humains, égales. Même si leurs richesse n'est pas égale, leurs rires et leur sourire le sont.

Pour finir, dans la fable de la Fontaine, l'opposition faite et celle de l'apparence. L'auteur compare ces deux rivières et torrent comme deux êtres humains. Il montre que l'apparence peut être trompeuse et que les gens veulent se donner une image, non représentative de leurs vrai personnalité. Pour conclure, ces trois textes nous donnes une leçon de morale. Tous trois nous expliques la bonne manière de vivre, comment vivre sa vie pour être