Corpus la poésie
Dans le premier poème, Le Papillon on retrouve l’expression de la conditions humaines de plusieurs façons. Tout d’abord le vers « Naître avec le printemps, mourir avec les roses, » rappel la vie humaine, de la naissance a la mort, au retour au ciel. Puis, on retrouve aussi l’expression de l’éternelle insatisfaction humaine, « Il ressemble au désir, qui jamais ne se pose, et sans se satisfaire, effleurant toute chose, ». Dans La Sauterelle, l’insecte permet de faire le lien avec le phénomène de la vie, un éternelle recommencement de la chaîne alimentaire, «Puissent mes vers être comme elle, la nourriture des meilleures gens. » cette comparaison exprime bien le fait d’être voué à servir de nourriture. Dans La Coccinelle, l’insecte renvoi a une distraction qui fait que l’homme perd une occasion d’embrasser la belle, et la morale « Les bêtes sont au bon Dieu, Mais la bêtise est a l’homme » créée sur le jeu de mot «bête- bêtise », permet bien de faire le lien avec la condition humaine, l’homme voulant atteindre ce qui appartient a Dieu. L’absurdité de la condition humaine est abordé a travers la Guêpe et la Mouche qui tout deux subissent le