~La Caricature bourgeoise

Le choix du thème est sur la caricature bourgeoise, car de nos jours les bourgeois sont encore critiqués voir caricaturés selon leur façon de s’habiller, leur façon d’être ou bien leur façon d’utiliser leur propre argent. Mes différents textes sur les bourgeois sont Une Statue de Verhaeren, Le jeu de Baudelaire et Monsieur Prudhomme de Verlaine. Le choix de ces trois textes est bien spécifique, car chaque texte parle de la bourgeoisie mais par rapport a différente personne. Celui de Verhaeren parle d’une statue bourgeoise, celui de Verlaine d’un maire et père de famille, et celui de Baudelaire parle de prostitué et de l’attraction du gain.
Charles Baudelaire est un auteur du XIXème siècle, il a écrit plusieurs œuvres dont un recueil connu Les fleurs du mal, Emile Verhaeren lui est un auteur de la fin du XIXème et début du XXème siècle, son ouvrage le plus connu est Les villes tentaculaires, puis Paul Verlaine est également un auteur du XIXème siècle avec un recueil célèbre, Poèmes saturniens.

Comment la bourgeoisie est-elle caricaturée ?

Une Statue, poème composé de sept quatrains construit en vers libres. On parle d’une statue bourgeoise qui tourne à la caricature « ventre riche, mâchoire ardente et menton lourd ». Une description de cette statue est faite mais avec exagération « gros front lourd », « sa colère fit loi » ou encore « il n’arrivait qu’à la hauteur d’un crime » ; le poète se moque du personnage qui se croit supérieur. On peut voir qu’il est animé d’une certaine violence à la hauteur de la terreur paranoïaque « son piédestal massif ». Le bourgeois est contracté autour de son idée fixe, c’est pour cela qu’il a « ses regards têtus » et c’est un homme des puissances obstructives qui lutte contre le progrès social « féroce et rancunier, autoritaire et fort ». Le portrait du bourgeois repu « ventre riche », obtus « gros front large », lâche « l’aboi plaintif des lâchetés » ou encore « sournois » fait penser au poème