Corpus
Ce corpus comporte trois texte qui abordent la métamorphose : Amphitryon 38 de Jean Giraudoux, Rhinoceros d’Eugene Ionesco ainsi que Le Cas Jekyll de Christine Montalbetti.
Tout dabord, la métamorphose est assuré par un dialogue entre deux personnages, comme dans Amphitryon 38 : Jupiter se transforme sous les yeux de Mercure à qui il demande à chaque étape de la transformation si cela convient “Mes yeux sont bien ? Voyons vos yeux, trop brillants (...) “ On comprend un changement chez Jupiter graces aux répliques. C’est ainsi dans Rhinoceros : Jean et Berenger sont chez Jean : Celui-ci se métamorphose, ce qui se comprend grace aux répliques de Berenger, une perte de parole “ Parlez plus distinctement” “Je ne vous reconnais plus”. Au contraire de Le Cas De jekyll : Docteur Jekyll est quand à lui seul face à son acte. C’est par un autre processus que l’on voit sa transformation : la présence du mirroir “Je veux me voir dans le mirroir de ma coiffeuse” qui est répété plusieurs fois. Il y a aussi dans ce corpus de texte, les détails qui sont très importants, en effet la description est rigoureuse. Ces détails changent évoluent au fur et à mesure du texte. Dans Le cas de Jekyll et Amphitryon 38, on retrouve des répliques très détaillées “ Je vois vos cheuveux pousser, vos ongler s’allonger, vos rides se creuser” dit Mercure, détail de l’apparence physique de Jupiter qui font que l’on le voit devenir homme. C’est le meme procédé pour Le Cas de Jekyll “ Mes os de Hyde cette fois s’étire, mes muscles s’allongent dans des souffrances terribles”. Dans Rhinoceros les détails de la transformation se trouvent surtout dans les didascalies : Berenger n’entend presque plus Jean “ A peine distinctement” “soufflant bruyamment” qui est caracteristique des Rhinoceros ! Ainsi que le détail d’une importante réplique de Berenger “ “ Votre corne s’allonge à vue