Maupassant, et Hugo comme étant un romantique . C'est donc avec une vision assez diversifiée que nous pourrons nous pencher sur la maniére que les auteurs utilisent pourdonner une image de la société à travers leurs personnages.

Le corpus est montré comme un déchenement du romantisme

Balzac et Maupassant on préférés l'exprimé depuis des personnages qui en tirent profit. Nous pouvons poursuivre notre études du corpus, en conservant cette séparationdes textes, en effet on retrouve le même registre pathétique, avec une pointe de tragique, dans Germinal et Quatre-vingt-treize alors que dans Bel-Ami et Le Pére Goriot le registre utilisé s'inscritplus dans l'ironie.

ais, la distinction que nous pratiquions à l'instant, regroupant ainsi les textes en deux catégories, n'est plus possibles dés lors que notre étude se base sur la focalisation destextes. Puisque Zola et seul à choisir un point de vue omniscient, d'une forte précision, pour livrer une

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Dans le corpus qui nous est présenté, nous avons face à nous quatres textes de romanciers aujourd'hui reconnus, Zola, Balzac et Maupassant comme faisant partie du mouvement réaliste voirnaturaliste pour Zola et Maupassant, et Hugo comme étant un romantique . C'est donc avec une vision assez diversifiée que nous pourrons nous pencher sur la maniére que les auteurs utilisent pourdonner une image de la société à travers leurs personnages.

On peut commencer par différencier deux types de textes. En effet, d'un coté, chez Hugo et Zola nous avons une dénonciation de la dureté desconditions de vie du peuple alors que de l'autre, chez Balzac et Maupassant les extraits sont plus basés sur une dénonciation de la perte des valeurs chez les aristocrates (Le pére Goriot) et chez lesambitieux (Bel-ami). En respectant cette distinction nous pouvons aussi trouver un différence dans les formes dans les textes cités plus haut, Hugo et Zola exprimant leur idée de la société via desvictimes de celle-ci alors que