Corrige Bac Blanc ... "Traité de vide" de B. Pascal
Un mot qui manque, est souvent la preuve d’une relecture non faite ou mal faite.
Parmi les affirmations brutales, c’est l’appartenance d’espèce entre homme et animal, d’abord c’est faux, ensuite, de quels animaux parle-t-on ?
Construire une argumentation à partir d’un problème, ce qui peut être fait très simplement
Confusion souvent entre l’échange et l’objet échangé,
L’introduction est souvent très peu introductive du sujet, rares sont les élèves qui font l’effort d’amener le sujet
Très peu de devoir introduisent leur questionnement, comme si ce n’était plus la peine de se poser une question, de l’analyser et d’en montrer l’intérêt.
Qu’est-ce que l’échange ? Les élèves qui se sont posés cette question, et qui ont défini, même incomplètement l’échange mais en n’oubliant pas l’idée d’un accord et d’une certaine équivalence, s’en sont mieux sortis que les autres.
Le sujet n’est pas analysé. Les candidats n’ont pas su élaborer un problème possible. Il n’a pratiquement jamais par exemple été question de la nature des échanges, de ce qu’est l’échange et en quoi, l’échange lui-même pourrait être ou nom régulateur des rapports entre les hommes. La paix a été comprise comme une conséquence de l’objet pas de l’échange. Alors bien sûr les ventes d’armes ne peuvent pas favoriser la paix.
En grande majorité ce sont les échanges économiques qui ont été repérés comme échanges pouvant répondre à la question, parfois, mais plus rarement, des candidats ont pensé à d’autres sortes de liens par les échanges de paroles, le dialogue ou les gestes.
Très peu de candidats ont vu l’intérêt de définir les termes mis en dialectique et ceux qui ont su le faire parfois de façon très simple ont alors su proposer une discussion à partir d’un problème.
La question de l’intérêt, intérêt bien compris entre les parties a peu été reprise, de même que celle de la nécessité de règles dans l’échange.
La question de la valeur de ce qui est échangé