Cote d'azur
La réaction du public:
Dé son entré dans la salle le spectateur est mis face à une transformation majeure, le théâtre dans sa structure est totalement modifier. Au lieux de se retrouver face au schéma classique que nous connaissons bien, à savoir l'ensemble des spectateurs assis face a une scène ou se déroulera la pièce nous nous retrouvons autour d'un ensemble de palissades de bois a travers les quelles il est difficile d'apercevoir quoi que se soit. Néanmoins les regards curieux des spectateurs tente avant même l'ouverture de la pièce de capter une image, un instant de se qui se passe derrière ces planches de bois en glissant difficilement son regard a travers les quelques troues parsemer à divers endroit sur la palissade. Le spectateur se place dé lors en position de voyeuriste, il cherche a tout pris à découvrir ce qui se cache derrière cette barrière. Puis la palissade s'ouvre, à certains endroits seulement, forçant ainsi certains spectateurs à changer d'endroit pour pouvoir voir la pièce. Afin de possédé le meilleur point de vu possible le spectateur change régulièrement de place pour ne pas manqué une miette de se qui se passe sur scène. Pour motiver ce comportement et l'accentuer le metteur en scéne fait bouger les panneaux, fermant certain alors que d'autre s'ouvre. Pourtant se qui se déroule sous nos yeux n'est en rien censé être attrayant. Au contraire nous voyons se dérouler en parralléle plusieurs actions de nature violentes et malsaines. Mais personne ne peut détacher son regard de se qui se passe. Il est donc par son propre comportement et celui du reste du public mis face a une réalité : la fascination de l'homme par la violence. L'homme ne