Courbe phillips
1.1/ INTRO
Après la seconde guerre mondiale: débat intense entre partisans des pol. de PE keynésiennes et les opposants à ce type de pol.
Question relation entre niveau des salaires nominaux et l’emploi au OL): les entrep sont en concu et proposent des salaires plus élevés + les syndicats saisissent l’occasion et demandent une augmentation de salaire plus importante DONC les salaires augmentent (NGP augmente)
-Récession: le chômage augmente, les entrep s’opposent a une hausse des salaires, les salaires (et NGP) diminuent dc ! (Mais attention, baisse des salaires modérées)
Il existe une relation positive et linéaire entre W et DL excédentaire.
Deuxième relation non linéaire, non négative entre la demande excédentaire de travail et le chômage XL = β (U).
1.5/ HANSEN (1970)
Reprend Lipsey, en supposant : taux d’emplois vacants et taux de chômage liés par une relation de forme hyperbolique.
1.6/ INTERPRETATION KEYNESIENNE ORTHODOXE
En partant de IS-LM à prix fixes, les eco de la « synthèse » montrent que l’OG est une fct croissante du prix et la DG une chômage décroissante du prix.
L’interprétation de la courbe de Philips par les keynésiens donne des fondements théoriques aux pol. conjoncturelles de régulation par la D.
- la courbe d’OG est un chômage croissante du prix: relation croissante entre la prod et le prix: hausse de la prod à baisse du chômage à hausse des salaires nominaux sup aux gains de productivité à hausse de l’inflation
- la courbe de DG est une chômage décroissante du prix: dans IS-LM a prix fixes, déplacement de IS ou LM ne modifie pas les prix mais augmente ou diminue la prod et le décroissante d’intérêt. 3 raisons a cette rigidité des prix: situation de sous emploi de l ‘eco, existence de capacité de prod non employé, existence de coûts de catalogue.
Si les prix sont flex LM se déplace vers la droite si les prix diminuent (et inversement) car M est fixe, l’O réelle de