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Les mots de Mme et M. Troisgros sur leur coup de cœur :
« C’est un endroit que nous avons tout de suite aimé. Le paysage de prés et de vallons, que rien ne vient abîmer, est magnifique. Au bout d’un chemin, nous avons découvert une vieille ferme abandonnée dans laquelle nous avons imaginé une auberge. Ce fut le point de départ d’une aventure. Avec l'architecte Patrick Bouchain, nous avons restauré les corps de ferme, et nous en avons fait des lieux d’hospitalité d’aujourd’hui, mais où tout l'ancien est préservé. »
La Colline du Colombier est une impasse au bout d’un chemin de terre, à plusieurs encablures d’Iguérande dont le maire n’en revient toujours pas d’avoir vu débarquer un jour l’un des chefs les plus connus au monde. C’est en faisant du vélo que le cuisinier est tombé par hasard sur des bâtiments de ferme à peine occupés. Une grange immense, une petite maison, une longère avec un immense colombier... Dans la grange, se tient le « Grand couvert » autrement dit l’auberge, vaste pièce restée dans son jus, ses murs de pisé encore apparents. La charpente a été déposée, remise en état avant d’être replacée à l’identique, les ouvertures d’origine ont été respectées, aucune nouvelle fenêtre percée. Seule concession à la modernité : un sol de ciment teinté répond au pisé des murs et un cube de béton brut semble comme posé sur le sol. C’est lui qui abrite la cuisine ouverte sur la salle, une pièce magnifique au piano Maestro induction et surtout une pièce de collection, un ilot central en inox martelé réalisé par Firminox, une entreprise de la région.
Le restaurant se compose d'une grande salle charpentée de bois à laquelle d’immenses lustres de verre sont accrochés. Installé dans un mobilier contemporain les clients peuvent ensuite profiter de cet endroit hors du commun.
A proximité du bâtiment principale on peut apercevoir une longère et un immense colombier qui ont été tous deux rénovés et transformés en gites. Ainsi que 3