Craig ellwood, house study case
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Des panneaux translucides de 10 pieds de hauteurs sont traités comme des murs étendus de la maison.
Les murs intérieurs de la maison sont traités également comme des écrans. Ils sont du même matériaux que les murs extérieurs permettant d’exprimer une continuité entre espaces intérieurs et espaces extérieurs. Ces panneaux sont exprimés en laissant apparaître la structure qui est peinte en noir. Ils sont décollés du sol, et sont séparés du plafond par une vitre en imposte.
La villa est composée sur une trame de 8 pieds.
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▪ La maison s’articule autour de deux axes occupés par les circulations, l’une intérieure, l’autre extérieure s’étendant longitudinalement dans le sens du projet. ▪ La limite avec la rue est dessinée librement par une ligne continue tour à tour opaque ou translucide. Cette ligne de partage limite tout à tour des espaces couverts et non clos (comme le porche) ; d’autres espaces, clos et découverts (comme la cour des enfants) ; ou encore certains espaces intérieurs et avec d’autres, extérieurs. Cette limite sépare de même, les cours des chambres, de la rue par une série de panneaux en verre translucide… ▪ Les espaces intérieurs et extérieurs s’organisent perpendiculairement autour des deux axes porteurs du projet. ▪ La partition entre les espaces sociaux et les espaces individuels se fait le long d’un axe Nord-Sud passant au niveau de l’entrée. ▪ Il étonnant de constater comment la villa dont la surface close s’inscrit dans un simple rectangle, et qui est construite grâce à une structure métallique complètement systématique n’empêche pas d’aboutir à une très grande variété d’espaces et d’usages. Chaque espace est parfaitement qualifié. Cet remarque est particulièrement sensible dans le jeu des espaces