Crise de 1929
Ca fait un effet de surprise car elle éclate au milieu d’une période dite de prospérité, les années 20, les « années folles ». Elle se répond avec rapidité. Le chômage accompagne cette crise dès le début et il semble impossible de lutter contre donc cela créer une crise de confiance. Il faudra attendre la 2nd moitié des années 30 pour retrouver une croissance durable.
Crise de l’analyse économique car impossibilité pour les économistes de trouver une explication au phénomène et surtout une solution. Au contraire, toutes les mesures prises aggravent la crise : l’augmentation des taux d’intérêt. Or, l’investissement et la consommation se voient diminuer durablement.
I. La spéculation boursière et le Jeudi noir « Black Thursday »
Les années 20 se caractérisent par le gonflement d’une bulle. En 7-8 ans le cours du PIB a augmenté de 3.75%. Il y a eu une déconnexion importante entre la sphère réelle et la sphère financière. L’économie américaine est dynamique, se qui développe un sentiment de confiance qui fait monter la valeur des actifs. A partir de ce moments les, les agents économiques constate que n’importe quelle action augmente et donc fait gagner de l’argent. Ainsi le cours augmente, mais de manière trop importante par rapport à la réalité et il finit par s’effondrer.
Spéculation boursière : Début du XXème siècle, l’économie entière est tournée vers le capitalisme. La richesse grâce au capitalisme va augmenter ce qui forcément entraîne de la spéculation liée à l’accroissement de richesse. En effet, aux E-U les américain se mettent à jouer en bourses tous, même les plus démunies pour s’enrichir (cours des actions x4 durant les années 20). Finalement, la prospérité n’est pas durable. Eclatement de la bulle spéculative, effondrement des marchés financier, suivit par un effondrement de la production et donc du PIB.
La perte de confiance est totale et à partir de là, les régimes politiques sont remis en question
II. L’extension