Face à la crise économique provenant de la crise américaine des subprimes, on a connu les turbulences sur les marchés financiers, la faiblesse du marché immobilier américain et la baisse des emplois en forte. Les pays comme France, Allemagne, Etats-Unis, Canada, Japon, Italie, Grande-Bretagne se trouvaient dans une situation difficile et ont enregistré des pertes d’emplois, la faillite des entreprises et les marchés boursiers en baisse. À titre exemple, entre la fin du deuxième trimestre 2007 et le 20 Janvier 2009, la capitalisation boursières de Citigroupe est passée de 255 milliards de dollars à 19 milliards, celle de HSBC de 215 milliards de dollars à 97 milliards, celle de RBS Royal Bank of Scotland de 76 milliards de dollars à 10 milliards, celle du Crédit Agricole de 67 milliards de dollars à 7,4 milliards, celle de BNP Paribas de 108 milliards de dollars à 34,8 milliards. En France, le gouvernement a injecté à plusieurs reprises des aides pour stabiliser le système des marchés financiers et soutenir les banques françaises. Suite au contexte économique, la Fédération bancaire française (FBF) s’inquiétait de ce que les banques européennes, sauvées dans leur pays par l’argent des contribuables, viennent en France pratiquer une politique commerciale agressive au lieu de financer leur économie nationale. La crise condamnait les banques à une rentabilité plus faible et la concurrence devient acharnée.
Face au contexte économique difficile, d’une part, du à l’instabilité du marché financier qui a fait en conséquence perdre la confiance des investisseurs et des clients, d’autre part, du à la crise des immobiliers, des crédits de financement, BNP Paribas a du adapter sa stratégie commerciale afin d’adapter à un monde inconnu car le monde hier n’est plus soutenable.
Dans le cadre de mon stage, la problématique « l’adaptation des commerciaux face aux impacts négatifs de la crise économique et l’efficacité de cette adaptation