Critique Maus
Cette histoire raconte la vie plutôt la survie d’un père qui a perdu toute sa famille dans les camps… la souffrance, la dureté des gardes, le stress des tris. Quand on le lit il nous met dans des états, on ressent la de tristesse, de l’admiration pour ce père.
Artie, est le fils de Vladek qui va lui raconter sa vie passer dans les camps, c’est petit boulot, c’est petit coup en douce pour ramener a Anja, ça femme dans le camp des femmes à coter de celui où il se trouve, pour lui ramener à manger. Ce livre nous raconte la vie dans les camps pas tous les jours facile, mais il a réussi à survivre pour pouvoir témoigner a son fils. Dans ce livre l’auteur a mis des correspondances : les nazis : des chats, les juifs : des souris, les suédois : des cerfs et les américains : des chiens
Vous aimeriez vous que pour vous nourrir on vous donne que du pain et de la soupe, et encore la soupe si vous n’avez pas de pou sur vous ! Vous aimeriez être traité comme du bétail pour être transporté d’un camp à un notre encore plus dur que celui où vous avez passé la major partie du temps. Vous aimeriez vous d’avoir tous les jours cette pression, cette fatigue que subissez les juifs, femme, enfant, et encore bien d’autres, non je ne pense pas. On se plein toujours, on dit toujours, oui la vie et trop compliquer, et bien non par rapport à eux notre vie, et je pense largement mieux. Alors arrêtons-nous de nous plaindre repensons à ce que peut-être nos ancêtres on vécut, et ensuite nous pouvons nous plaindre. J’ai aimé le livre, je l’ai carrément adoré parce qu’il nous fait ouvrir les yeux sur l’atrocité de la violence que pouvaient pratiquer les nazis sur les personnes dans les camps