Critique théâtrale fin de partie
Monsieur Becket est né à Foxrock en Irlande dans une famille bourgeoise. Au cours de son adolescence, Becket su se démarquer parmi ses coéquipiers face à la langue française et suscite un certain intérêt face a la littérature. Dans la vingtaine, il diffuse quelques poèmes, nouvelles et essais. Après la guerre, la santé de Becket se dégrade de plus en plus, mais celle-ci ne l’affecte aucunement sur le plan de l’écriture, car c’est dans cette période qu’il publiera son plus grand nombre d’œuvre. C’est en 1953 qu’il édite Fin de partie. En 1969, il reçoit le prix Nobel de littérature pour l’ensemble de son œuvre.
Fin de partie, s’inspirant de la fin du monde met en scène 4 acteurs. Dans le premier rôle on y trouve Hamm un vieil homme dépourvu du sens de la vue et se déplaçant en chaise roulante du à sa paralysie. En second on y retrouve son fils, Clov, lui servant de serviteur et n’étant pas capable de s’assoir. Dans le troisième rôle, on y trouve les parents de Hamm, Nagg et Nell qui sont pour leur part estropiés et donc dédier a vivre jusqu'à la fin de leur jours dans des poubelles. Ces 4 acteurs prenant place dans le salon de Hamm se racontent des parcelles de vie, des rêves et des envies, le tout surmonter de querelles d’où le maitre est nul autre qu’Hamm.
Les points forts de la pièce sont sans doute le jeu des comédiens qui était, a mon avis, très bien réussi. Ils ajoutaient de l’intonation au bon moment afin de rendre la pièce réelle. Les décors mis en place sur la scène étaient bien réaliser et réalistes. Les costumes étaient d’autant plus de très bon gout et bien choisi afin d’être cohérent avec l’histoire de la pièce.
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