Critique tous les matins du monde
Tous les matins du monde
Pascal Quignard et Alain Corneau
Cette œuvre créé sous une forme écrite par Pascal Quignard et ensuite en image par le film d’Alain Corneau. Tous les matins du monde s’inspire du 17ème siècle qui représente en particulier le classicisme avec la musique baroque ainsi que des références au jansénisme.
Les thèmes développés sont la musique et surtout la viole de gambe qui est l’élément qui relie les personnages principaux : Monsieur de Sainte Colombe, ses filles et Marin Marais, la musique est aussi un moyen d’expression des sentiments.
Cette œuvre développe des événements de la vie avec le chagrin de Monsieur de Saint Collombe qui a perdu sa femme mais il retrouve refuge dans la musique. L’arrivée de Marin Marais pertube la vie de paix de Saint Collombe et ses deux filles Madeleine et Toinette car l’échange entre le maitre et l’élève est un conflit et une prise de conscience pour chacun d’eux.
Le livre amène le lecteur a imaginé les détails visuels tout au long de son évolution et l’histoire semble simple mais il faut la comprendre dans son ensemble pour comprendre son sens et sa réflexion.
Le film permet de completer notre idée de l’histoire car la voix off de Marin Marais permet de montrer les sentiments de Marin Marais face à cette rencontre avec Monsieur de Sainte Collombe.
L’histoire en elle-même reste sobre car elle est plate dans ses actions puisque la vie des personnages semble sans interet. Mais avec patience elle semble faire réfléchir chacun des personnages et même le lecteur ou spectateur de la vision de la