Critique
A partir de ce moment-là, la belle mécanique imaginée par Jimbo Farrar se détraque et les sept petits génies, une fois regroupés, deviennent aussi hargneux et crétins qu'une bande de hyènes décidées à tout décimer sur leur passage, à la différence près que leur meilleure arme sera leur intelligence hors du commun. Evidemment, Jimbo Farrar, qui est le seul vrai génie gentil du monde, ne l'entend pas de cette oreille et ne laissera pas cette petite basse-cour d'enfants détraqués réunis par sa faute diriger le monde comme elle l'entend. Et paf, la deuxième partie du livre nous racontera cette formidable guerre menée entre les forces du mal et les forces du bien. Comme la quatrième de couverture nous indique que ce livre a eu beaucoup de succès, on ne doute pas un instant de l'issue de cette histoire.
Mais laissons tomber le côté prévisible du récit. le reste du bouquin en vaut-il la peine ? Eh bien non, à moins d'avoir du temps à perdre et de vouloir rire des grossièretés de l'histoire, de la balourdise des personnages et de la