néraleDans le mythe d’Œdipe : voir tableau
Chacune de ces 4 colonnes, regroupe plusieurs relations appartenant au même paquet de mythèmes.
La colonne 1 regroupe les rapports de parenté surestimés (amour excessif).
La colonne 2 rassemble des rapports de parenté sous-estimés et sous évalués (manque excessif d’amour).
La colonne 3 rassemble des monstres, des dragons et leurs destructions.
La colonne 4 regroupe des significations qui se ramènent à la difficulté de marcher droit.
La colonne 2 est manifestement l’inversion de la colonne 1.
La colonne 3 regroupe des destructions de montres venant de la terre des figures qui symbolisent le fait de naitre de la terre. Levi Strauss appelle ce mythème : l’autochtonie de l’homme (qu’on vient de la même terre). Si des héros tuent ces monstres, il est clair que ces meurtres signifient une négation de l’autochtonie de l’homme.
La colonne 4 est symbolique liée à la colonne 3. En effet, il est fréquent que les hommes nés de la terre soient représentés au moment de leur émergence comme incapable de marcher, boiteux, gauche, …
Le sens global de la colonne 4 c’est la persistance de l’autochtonie.
La colonne 4 est l’inversion de la colonne 3.
On a un rapport analogique. Ces groupes sont reliés par des contradictions internes qui rendent homogènes ces groupes deux à deux.
Les mythèmes ne sont-elles pas irrationnelles, chaotiques ?
Les groupes 3 et 4 sont la répétition symbolique des groupes 1 et 2. en effet, les colonnes 1 et 2 portent sur la difficulté à émettre la naissance humaine entre un homme et une femme.
Point commun : colonne 1, colonne 2 : difficulté d’accepter la généalogie sexuelle.
On retrouve cette difficulté dans les mythes d’autochtonie figurés avec les monstres issus de la terre. Autochtonie incompatible avec la généalogie sexuée. Leur destruction signifie à la fois la priorité de la naissance par les voies sexuelles et la difficulté à accepter la génération sexuée normale (symbolisée par la gaucherie,