Darwin, l'affiliation de l'homme
L’affiliation de l'homme et la sélection liée au sexe.
Charles Darwin
Dans le cadre du cours de philosophie l'Être Humains.
Le 12 Novembre 2014
Dans son œuvre la filiation de l'homme et la sélection liée au sexe, le naturaliste britannique Charles
Darwin, au chapitre 21 soutient que l'homme descend de quelque forme inférieur de vie, une forme
moins hautement organisée. Il soutient aussi que l'homme et l'animal sont en fait étroitement liés par
plusieurs traits physiologiques similaires. L'homme n'est pas l’œuvre d'un acte séparé de la création.
Dans ce présent chapitre Darwin énumère tout les facteurs auxquelles il se base pour appliquer
cette théorie.
Charles Darwin nous force d'admettre la rigoureuse ressemblance de l'embryon humain avec celui des
autres animaux. La construction des membres, du crâne et de l'ossature suivent dans l'ensemble le
même parcours physiologique. Ceci est l'une des preuves les plus évidente. D'autres éléments se
rajoutent à cette théorie: les capacités intellectuelles, les qualités morales( les instincts sociaux) et la
croyance en Dieu. Comme les humains, les animaux ont des capacités mentales qui progressent en
divers degrés, ils sont capables de progrès tout comme les humains.Les facultés mentales sont variables
et les variations héréditaires. Tout les êtres vivants ont les aptitudes pour survivre et s'adapter au gré du
temps. En second point, le développement des qualités morales qui est un problème pour le moins plus
intéressant. La base du développement des qualités morales sont les instincts sociaux, instinct qui
apporte à l'animal comme à l'être humain de faire des actions définies. Certains animaux éprouvent des
émotions d'amour et de sympathie envers les autres membres de leur espèce. Les animaux doués des
instincts sociaux prennent plaisir comme les